"Je dois rompre avec ma famille."
A partir de 1979, apparaît à Hong Kong une nouvelle génération de réalisateurs, celle de Tsui Hark, dont aucun des membres n'est sous contrat avec la Shaw Brothers. Dans le même temps, les barons du studio chinois ne se renouvellent pas, se laissant aller à la facilité de la redite. Même Liu Chia-liang connaît quelques revers de succès. L'excentrique et hétérogène Shih ba pan wu yi, dans lequel il tient, en tant qu'acteur, le rôle principal, lui permettra pourtant d'inverser la tendance. Alexandre Fu Cheng, Gordon Liu y font quelques apparitions et maître Liu y reprend le couple de Feng hou, Hsiao Ho et Kara Hui.
Le grand intendant Li Liang-ying confie à chacune des trois branches de son organisation, les mages guerriers, le maoshan et la boxe divine, la mission-suicide de retrouver et d'éliminer Lei Gong. Celui-ci chargé, trois ans auparavant, d'organiser la section des Boxers du Yunnan, l'a, de fait, dissoute, ce précédant constituant une menace pour l'intégrité du mouvement. Plusieurs membres sont donc envoyés pour affronter cet expert dans le maniement des dix-huit armes du kung-fu, lequel pourrait se cacher sous l'apparence anodine d'un bûcheron appelé Oncle Yu.
Le pyrotechnique Shih ba pan wu yi réussit à faire le grand écart entre le fantastique et la comédie en passant, bien sûr, par les arts martiaux. Malgré une narration un peu confuse, le film reste plaisant grâce à la qualité des combats (la gymnique prend toutefois parfois le dessus et l'affrontement final tourne légèrement à la démonstration) et surtout aux remarquables scènes dans lesquelles Fu Cheng apporte une preuve supplémentaire de ses talents physiques et comiques.
Le grand intendant Li Liang-ying confie à chacune des trois branches de son organisation, les mages guerriers, le maoshan et la boxe divine, la mission-suicide de retrouver et d'éliminer Lei Gong. Celui-ci chargé, trois ans auparavant, d'organiser la section des Boxers du Yunnan, l'a, de fait, dissoute, ce précédant constituant une menace pour l'intégrité du mouvement. Plusieurs membres sont donc envoyés pour affronter cet expert dans le maniement des dix-huit armes du kung-fu, lequel pourrait se cacher sous l'apparence anodine d'un bûcheron appelé Oncle Yu.
Le pyrotechnique Shih ba pan wu yi réussit à faire le grand écart entre le fantastique et la comédie en passant, bien sûr, par les arts martiaux. Malgré une narration un peu confuse, le film reste plaisant grâce à la qualité des combats (la gymnique prend toutefois parfois le dessus et l'affrontement final tourne légèrement à la démonstration) et surtout aux remarquables scènes dans lesquelles Fu Cheng apporte une preuve supplémentaire de ses talents physiques et comiques.
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