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Intéressant sur le plan graphique(1), notamment le travail réalisé sur les ombres et lumières, le premier long métrage du Tchèque Tomás Lunák ne peut longtemps dissimuler la faible substance de son matériau narratif. Un déficit manifeste qui explique sans doute l'incroyable lenteur avec laquelle s'organisent les quelques éléments du scénario(2). Erratique, monocorde, Alois Nebel (présenté en première à la 68e Mostra puis au TIFF) ne répond hélas pas aux attentes suscitées sauf sur le plan visuel(3).
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1. le principe d'une animation à partir d'images réelles déçoit néanmoins un peu.
2. sur fond historique de sametová revoluce (révolution de velours).
3. impression identique à celle produite par Renaissance.
3. impression identique à celle produite par Renaissance.
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