dimanche 27 octobre 2013

The Man Who Shot Liberty Valance (l'homme qui tua liberty valance)

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"... This is the West, sir. When the legend becomes fact, print the legend."

Assez différents des précédents (en raison notamment de la prépondérance des décors de studio), le pénultième western* de  est pourtant l'une de ses meilleures productions. On comprend aisément les raisons pour lesquelles il a porté son choix sur le récit publié en 1949 par Dorothy Marie Johnson (auteure également de The Hanging Tree et A Man Called Horse). Une manière pertinente de soulever le voile de la légendaire "édification" de l'Ouest et, ainsi, d'en révéler un peu la réalité, ses acteurs (héros) anonymes. D'illustrer la victoire de la civilisation (idéaliste ?) sur le primitivisme. Les films de  possèdent presque toujours un supplément d'humanité ; The Man Who Shot Liberty Valance (entré en 2007 au National Film Registry) n'y déroge pas, bien au contraire. La subtilité narrative du cinéaste, influencée par une intelligence civique aigüe, son  sens du détail font ici une nouvelle fois merveille. Le casting, dans son intégralité, apportant une pierre significative à l'ouvrage, avec une mention spéciale pour  et pour le prodigieux .
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*et dernier film en noir et blanc.



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