lundi 28 octobre 2013

Anna Karenina (anna karenine)


Quarante-cinq minutes m'ont paru être la limite du tolérable. Le traitement pseudo théâtral (doté néanmoins de quelques bonnes idées) choisi par  (Pride & PrejudiceAtonement), le minimalisme, la superficialité du récit proposé par , le caractère mécanique et maniéré du jeu des acteurs devenaient, au terme de ce délai, insupportables. Cette version stylisée contrefait, au demeurant, les attributs primordiaux du troisième roman de . Et pousse à (re)voir les adaptations dans lesquelles  (à deux reprises) et  tenaient le rôle-titre.



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