
Je ne mésestime pas, comme Jarriq, la qualité du film de Winner
. L'absence de citation dans les ouvrages de référence sur le western me paraît davantage liée à la forte concurrence opérée par les productions de Leone
 depuis le milieu des années 1960 (Lawman
 est sorti la même année que Giù la testa
). Comme à la probable influence des quelques décevantes productions postérieures du réalisateur.
. L'absence de citation dans les ouvrages de référence sur le western me paraît davantage liée à la forte concurrence opérée par les productions de Leone
 depuis le milieu des années 1960 (Lawman
 est sorti la même année que Giù la testa
). Comme à la probable influence des quelques décevantes productions postérieures du réalisateur.
Le scénario de Gerald Wilson (Robbery
) aurait d'ailleurs pu être traité (plus avantageusement ?) comme un polar. Et les personnages interprétés par Robert Ryan
 et Lee J. Cobb
 me semblent plus intéressants que celui, tronqué et/ou caricatural, tenu par Lancaster
.
) aurait d'ailleurs pu être traité (plus avantageusement ?) comme un polar. Et les personnages interprétés par Robert Ryan
 et Lee J. Cobb
 me semblent plus intéressants que celui, tronqué et/ou caricatural, tenu par Lancaster
.
Je n'ai, par ailleurs, jamais compris la raison de l'élimination (dans le dos) par Maddox de Hurd Price sous les yeux de sa future "veuve".
Jusque là cantonné au petit écran, Richard Jordan
, auquel Winner
 offrira un second rôle dans Chato's Land
 également signé par Gerald Wilson, y fait sa première apparition au cinéma.
, auquel Winner
 offrira un second rôle dans Chato's Land
 également signé par Gerald Wilson, y fait sa première apparition au cinéma.

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