"Y si yo no te encuentro, voy a seguir te buscando, siempre."

Présenté  notamment à Sitges, Gérardmer puis sélectionné pour la 30e édition de  Fantasporto, le premier long métrage du Madrilène Gabe Ibáñez (collaborateur d'Álex de la Iglesia
 (collaborateur d'Álex de la Iglesia ) n'appartient pourtant pas, à proprement parler, au genre fantastique. Imaginée par Javier Gullón (El Rey de la montaña
) n'appartient pourtant pas, à proprement parler, au genre fantastique. Imaginée par Javier Gullón (El Rey de la montaña ), associé pour l'occasion au producteur Jesús de la Vega, cette dramatique histoire de perte(s)  en adopte néanmoins certains effets et ambiances. Ce dernier terme se  révèle d'ailleurs fondamental pour au moins deux raisons : le choix de  la plus méridienne (pas au sens de repos) des Iles Canaries pour décor d'Hierro
), associé pour l'occasion au producteur Jesús de la Vega, cette dramatique histoire de perte(s)  en adopte néanmoins certains effets et ambiances. Ce dernier terme se  révèle d'ailleurs fondamental pour au moins deux raisons : le choix de  la plus méridienne (pas au sens de repos) des Iles Canaries pour décor d'Hierro ainsi que la saisissante prestation climatique Elena Anaya
 ainsi que la saisissante prestation climatique Elena Anaya , déjà remarquée sur une autre île*, et pour laquelle le film semble s'apparenter à un véritable véhicule de distinction.
, déjà remarquée sur une autre île*, et pour laquelle le film semble s'apparenter à un véritable véhicule de distinction.
 (collaborateur d'Álex de la Iglesia
 (collaborateur d'Álex de la Iglesia ) n'appartient pourtant pas, à proprement parler, au genre fantastique. Imaginée par Javier Gullón (El Rey de la montaña
) n'appartient pourtant pas, à proprement parler, au genre fantastique. Imaginée par Javier Gullón (El Rey de la montaña ), associé pour l'occasion au producteur Jesús de la Vega, cette dramatique histoire de perte(s)  en adopte néanmoins certains effets et ambiances. Ce dernier terme se  révèle d'ailleurs fondamental pour au moins deux raisons : le choix de  la plus méridienne (pas au sens de repos) des Iles Canaries pour décor d'Hierro
), associé pour l'occasion au producteur Jesús de la Vega, cette dramatique histoire de perte(s)  en adopte néanmoins certains effets et ambiances. Ce dernier terme se  révèle d'ailleurs fondamental pour au moins deux raisons : le choix de  la plus méridienne (pas au sens de repos) des Iles Canaries pour décor d'Hierro ainsi que la saisissante prestation climatique Elena Anaya
 ainsi que la saisissante prestation climatique Elena Anaya , déjà remarquée sur une autre île*, et pour laquelle le film semble s'apparenter à un véritable véhicule de distinction.
, déjà remarquée sur une autre île*, et pour laquelle le film semble s'apparenter à un véritable véhicule de distinction.
Employée d'un zoo-aquarium, María Vara s'apprête à prendre de nécessaires vacances avec son jeune fils Diego.  A bord du ferry qui les emmène vers une île, le garçon de cinq ans est  autorisé à aller seul dans l'aire de jeu de l'embarcation. Sa mère,  épuisée, s'endort, peu après réveillée en sursaut par le fracas mortel  d'un oiseau contre la vitre à proximité de son siège. Pendant son bref  sommeil, l'enfant a disparu de l'espace-passagers et reste introuvable à  bord jusqu'à l'arrivée et le débarquement. Déclarée à l'officier de  police local, sa disparition fait l'objet d'un avis public de recherche  sans résultat. Six mois plus tard, María, qui développe depuis  ce profond traumatisme une phobie pour l'eau l'empêchant de reprendre  son travail habituel, est invitée à retourner sur l'île pour identifier  le cadavre d'un enfant retrouvé. Accompagnée de sa collègue et amie Laura, récente mère d'un fils, María nie qu'il s'agisse de Diego. Un prélèvement génétique doit cependant être pratiqué, conditionné par l'autorisation d'un juge attendu le surlendemain.

Tragiquement banal dans ses présupposés narratifs, Hierro sait pourtant se montrer original tant par son traitement que par ses atmosphères. Le second film de Gabe Ibáñez
 sait pourtant se montrer original tant par son traitement que par ses atmosphères. Le second film de Gabe Ibáñez n'est certes pas exempt de faiblesses ou de maladresses, en particulier  dans sa trop explicite phase de résolution. Mais l'impression créée se  révèle vivace sur la durée du métrage même s'il fait pour cela souvent  appel à quelques effets visuels ou sonores dont la pertinence reste  parfois toute relative. Peu de comparaison possible avec l'urbain Keane
  n'est certes pas exempt de faiblesses ou de maladresses, en particulier  dans sa trop explicite phase de résolution. Mais l'impression créée se  révèle vivace sur la durée du métrage même s'il fait pour cela souvent  appel à quelques effets visuels ou sonores dont la pertinence reste  parfois toute relative. Peu de comparaison possible avec l'urbain Keane , a fortiori avec l'aéronautique Flight Plan
, a fortiori avec l'aéronautique Flight Plan .  Les éléments, surtout l'eau, et la psychologie tiennent ici un rôle  éminent et, comme l'interprétation efficacement "éperdue" d'Elena Anaya
.  Les éléments, surtout l'eau, et la psychologie tiennent ici un rôle  éminent et, comme l'interprétation efficacement "éperdue" d'Elena Anaya , sont plutôt adroitement mis en valeur.
, sont plutôt adroitement mis en valeur.  
 sait pourtant se montrer original tant par son traitement que par ses atmosphères. Le second film de Gabe Ibáñez
 sait pourtant se montrer original tant par son traitement que par ses atmosphères. Le second film de Gabe Ibáñez n'est certes pas exempt de faiblesses ou de maladresses, en particulier  dans sa trop explicite phase de résolution. Mais l'impression créée se  révèle vivace sur la durée du métrage même s'il fait pour cela souvent  appel à quelques effets visuels ou sonores dont la pertinence reste  parfois toute relative. Peu de comparaison possible avec l'urbain Keane
  n'est certes pas exempt de faiblesses ou de maladresses, en particulier  dans sa trop explicite phase de résolution. Mais l'impression créée se  révèle vivace sur la durée du métrage même s'il fait pour cela souvent  appel à quelques effets visuels ou sonores dont la pertinence reste  parfois toute relative. Peu de comparaison possible avec l'urbain Keane , a fortiori avec l'aéronautique Flight Plan
, a fortiori avec l'aéronautique Flight Plan .  Les éléments, surtout l'eau, et la psychologie tiennent ici un rôle  éminent et, comme l'interprétation efficacement "éperdue" d'Elena Anaya
.  Les éléments, surtout l'eau, et la psychologie tiennent ici un rôle  éminent et, comme l'interprétation efficacement "éperdue" d'Elena Anaya , sont plutôt adroitement mis en valeur.
, sont plutôt adroitement mis en valeur.  
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*celle, très différente, où se déroule Lucía y el sexo .
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