jeudi 20 février 2014

Only God Forgives

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 nous confirme qu'un cinéaste peut passer, sans transition, d'un grand film (Drive) à une belle ineptie. J'ai d'ailleurs failli lâcher prise avant la première demi-heure de métrage. Ineptie, car cette absurde histoire de vengeance (vendetta : ความพยาบาทอันยาวนาน en version locale) pseudo exotique et de justice expéditive apparaît rapidement spécieuse et/ou absconse. Belle, parce que  et son cinématographe Larry Smith se sont visiblement (et égoïstement) faits plaisir. Comment dit-on "daube" en thaï ?



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