jeudi 16 février 2012

Predator


Si ce film, à la réputation boursoufflée mais au succès commercial réel, n'avait pas été réalisé (entre le modeste Nomads et le remarquable Die Hard) par , je ne m'y serais certainement jamais intéressé. Ce qui, en soi, n'aurait pas été une grande perte ! Arnold Schwarzenegger constitue, dans cette perspective, à coup presque sûr un puissant contre-argument. Le premier scénario des  est en effet extrêmement mécanique mais aussi d'une profonde pauvreté (pour ne pas dire "bêtise") narrative. Ce handicap ne l'a pourtant pas empêché de susciter deux sequels et autant de spin-off aux réussites plus contrastées. Il doit y avoir un public pour ce type de productions plus proches de l'adaptation du jeu vidéo Doom que de la quadrilogie (tétralogie) Alien.

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