jeudi 26 septembre 2013

Les Lèvres rouges

******
Si l'on se fie à cette production (en anglais) de l'Anversois  (sortie la même année que Malpertuis), vampirisme et film expérimental ne font pas bon ménage. Le scénario co-écrit avec son compatriote  ne brille ni par son originalité (à tous les sens du vocable), ni surtout par sa luminosité narrative. Incohérent, décousu, emprunté, prétendument graphico-esthétique, Les Lèvres rouges ne suscite la curiosité et ne rompt l'ennui que grâce à la présence de l'incomparable *, première interprète significative du personnage de la comtesse Bathory. Epouvantable certes**, pas pour les raisons attendues !
___
*entre Peau d'âne de  et Le Charme discret de la bourgeoisie de , apparemment convaincue de participer à "cette chose" par son compagnon Alain Resnais.
**la bande musicale est sans doute aussi l'une des plus médiocres du compositeur de François de Roubaix.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire