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D'accord, il s'agit d'une première fiction, tournée en 16mm avec un budget d'une centaine de milliers de dollars et des acteurs débutants*. Mais cela justifie-t-il une telle nullité ? Le récit, signé par John McNaughton et Richard Fire, très librement inspiré d'une partie de la sordide existence d'Henry Lee Lucas, meurtrier précoce, matricide et tueur en série, ne valait (comme la plupart des biopics de cet acabit**) peut-être pas davantage. Cela n'a d'ailleurs pas empêché les jurys de la vingtième édition de Sitges et de la dixième de Fantasporto de lui décerner un total de sept prix. Chuck Parello a, dix ans plus tard, écrit et réalisé une sequel semble-t-il moins appréciée, avec Neil Giuntoli dans le rôle-titre.
N.B. : Drifter: Henry Lee Lucas, (2009) dirigé par Michael Feifer avec Antonio Sabato Jr., revendiquait une plus grande fidélité aux faits... apparemment sans plus de réussite !
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*dont Michael Rooker, surtout connu pour son personnage de Merle Dixon de la série The Walking Dead.
N.B. : Drifter: Henry Lee Lucas, (2009) dirigé par Michael Feifer avec Antonio Sabato Jr., revendiquait une plus grande fidélité aux faits... apparemment sans plus de réussite !
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*dont Michael Rooker, surtout connu pour son personnage de Merle Dixon de la série The Walking Dead.
**par ex. ceux sur Ed Gein, Albert De Salvo, Richard Speck, Ed Kemper ou encore Ted Bundy.
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