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"Obscene? Have you ever felt real overpowering passion?"
Je n'avais pas souvenir de l'intérêt de Roman Polanski, avant La Vénus à la fourrure, pour le sado-masochisme. Je ne me rappelais pas, non plus, la profonde médiocrité de Bitter Moon. Adapté avec Gérard Brach et le Britannique John Brownjohn du deuxième roman de Pascal Bruckner, ce drame à la bêtise consommée demeure probablement comme l'un des pics filmiques de la vulgarité intellectuelle et artistique. Le plus grand outrage étant sans doute d'avoir mis le talent du cinématographe romain Tonino Delli Colli, collaborateur notamment de Sergio Leone et de Fellini, au service de cette aberration.
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