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"My story can never be told..."
Dix-huit ans après Interview with the Vampire: The Vampire Chronicles, le réalisateur irlandais Neil Jordan renoue avec l'univers vampirique. Il s'agit à nouveau d'une adaptation par son auteur, cette fois celle de la pièce "A Vampire Story" (2008) de l'Anglaise Moira Buffini (adaptatrice au cinéma de Tamara Drewe et Jane Eyre). Réinvention modernisée du mythe byrono-polidorien, Byzantium demeure néanmoins limité, confus (les inappropriées mentions des caraïbéens soucouyants n'en sont pas la seule cause). Secret, vengeance, immixtion féminine dans une confrérie jusque-là masculine, relations materno-filiales, autant d'éléments narratifs qui tentent de tendre un scénario un peu mou et fade, la mutation vampirique étant par ailleurs ici vécue comme un absurde sauvetage thérapeutique. L'interprétation de Saoirse Ronan constitue sans aucun doute l'unique plus-value artistique de ce drame horrifique.
Dix-huit ans après Interview with the Vampire: The Vampire Chronicles, le réalisateur irlandais Neil Jordan renoue avec l'univers vampirique. Il s'agit à nouveau d'une adaptation par son auteur, cette fois celle de la pièce "A Vampire Story" (2008) de l'Anglaise Moira Buffini (adaptatrice au cinéma de Tamara Drewe et Jane Eyre). Réinvention modernisée du mythe byrono-polidorien, Byzantium demeure néanmoins limité, confus (les inappropriées mentions des caraïbéens soucouyants n'en sont pas la seule cause). Secret, vengeance, immixtion féminine dans une confrérie jusque-là masculine, relations materno-filiales, autant d'éléments narratifs qui tentent de tendre un scénario un peu mou et fade, la mutation vampirique étant par ailleurs ici vécue comme un absurde sauvetage thérapeutique. L'interprétation de Saoirse Ronan constitue sans aucun doute l'unique plus-value artistique de ce drame horrifique.
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