Southern Comfort ne fait effectivement pas son âge (30 ans déjà)
et tient toujours bien la route. J'apprécie en particulier son côté
brut de décoffrage, l'inattendue transgression de la sacro-sainte (aux States)
propriété privée génératrice de tous les maux, la contestation de
l'autorité formelle. Sa relative uniformité, un atout en terme de
narration pour un survival original, joue néanmoins un peu en sa défaveur, lui donnant un côté mécanique, répétitif sensible lors d'un second visionnage.
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