Ce qu'il y a de réjouissant chez Johnnie To,
c'est la "malice", l'inventivité de ses réalisations associées à une
fluidité, un rythme, une énergie, une légèreté que l'on ne trouve pas la
plupart du temps chez les autres auteurs de polars/films de gangsters.
Adapté du roman du cinéaste Edmond Pang Ho-cheung, Chuen jik sat sau est l'un de mes préférés du duo que forme depuis 2000 le Chinois de Hong Kong avec son compatriote Wai Ka-fai. Grâce notamment à l'interprétation exubérante/extravagante d'Andy Lau et des nombreuses citations filmiques dont il est "truffé", à commencer par El Mariachi et Le Samouraï... mais pas seulement.
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