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"Now, listen to me, cuz. You keep your eyes on this tuchas, and don't you take them off till we get to San Francisco!"
Les authentiques réussites de comédie westernienne, en vogue dans les années 1970, sont plutôt rares. Aux Etats-Unis, Blazing Saddles constitue l'un des exemples notoires. Projet resté longtemps inabouti avant d'être produit par Mace Neufeld et la Warner, The Frisco Kid avait d'ailleurs tenté de profiter du succès du film de Mel Brooks. Mais aussi de capitaliser sur la récente popularité dont jouissait Harrison Ford*, l'une des vedettes de la saga naissante Star Wars... Sans y parvenir. La particularité du récit imaginé par Michael Elias (The Jerk) et Frank Shaw (son dernier scénario, le seul écrit pour le cinéma), intégrer des éléments narratifs liés à la judéité orthodoxe de personnage principal, le rend certes sympathique mais elle ne comble assurément pas les attentes plus significatives d'un cinéphile. Ce long road-buddy movie transaméricain franchement mollasson confié à Robert Aldrich** ne peut, en réalité, avancer qu'un seul argument : la prestation de l'incomparable Gene Wilder.
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*dans son premier western en tant que tête d'affiche, le second étant l'hybride Cowboys & Aliens (2011).
**lequel dirige ici le pénultième film de sa carrière entamée à la télévision en 1952.
Les authentiques réussites de comédie westernienne, en vogue dans les années 1970, sont plutôt rares. Aux Etats-Unis, Blazing Saddles constitue l'un des exemples notoires. Projet resté longtemps inabouti avant d'être produit par Mace Neufeld et la Warner, The Frisco Kid avait d'ailleurs tenté de profiter du succès du film de Mel Brooks. Mais aussi de capitaliser sur la récente popularité dont jouissait Harrison Ford*, l'une des vedettes de la saga naissante Star Wars... Sans y parvenir. La particularité du récit imaginé par Michael Elias (The Jerk) et Frank Shaw (son dernier scénario, le seul écrit pour le cinéma), intégrer des éléments narratifs liés à la judéité orthodoxe de personnage principal, le rend certes sympathique mais elle ne comble assurément pas les attentes plus significatives d'un cinéphile. Ce long road-buddy movie transaméricain franchement mollasson confié à Robert Aldrich** ne peut, en réalité, avancer qu'un seul argument : la prestation de l'incomparable Gene Wilder.
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*dans son premier western en tant que tête d'affiche, le second étant l'hybride Cowboys & Aliens (2011).
**lequel dirige ici le pénultième film de sa carrière entamée à la télévision en 1952.
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