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J'avoue me ranger à l'opinion tranchée de James Caan. The Killer Elite* est, surtout avec le recul, un polar des '70s assez quelconque, pour ne pas dire médiocre. La carrière de Sam Peckinpah (ici simple réalisateur engagé, malgré sa réputation, par Mike Medavoy alors responsable de la production chez United Artists) a, dans l'ensemble, été plutôt inégale et contrastée. Cette adaptation par Stirling Silliphant (In the Heat of the Night) et Marc Norman du roman** de Robert Syd Hopkins alias Robert Rostand, presque vide de substance et de réel enjeu narratifs, ne présente que de mineurs intérêts : la présence de James Caan (associé pour la dernière fois à son pote Robert Duvall), celle du Japonais Mako (Po-han dans The Sand Pebbles) et l'emploi (inédit ?) de la National Defense Reserve Fleet pour décor de la scène finale. Un peu maigre... pour une élite !
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*sans aucun lien avec le film d'action homonyme et premier long métrage du Nord-irlandais Gary McKendry.
**"Monkey in the Middle", premier volet de la trilogie Mike Locken.
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*sans aucun lien avec le film d'action homonyme et premier long métrage du Nord-irlandais Gary McKendry.
**"Monkey in the Middle", premier volet de la trilogie Mike Locken.
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