Parmi les films dirigés par Brian De Palma
, Carrie
reste assurément l'un de mes préférés. Très justement récompensé par le quatrième "Grand prix" (le second d'affilé pour le réalisateur) du Festival d'Avoriaz, cinquième du nom.
, Carrie reste assurément l'un de mes préférés. Très justement récompensé par le quatrième "Grand prix" (le second d'affilé pour le réalisateur) du Festival d'Avoriaz, cinquième du nom.
Le
temps semble ne pas avoir de prise sur lui, simplicité narrative et
relative complexité "symbolique" constituant un étrange et percutant
mariage.
La maitrise dans la réalisation de la séquence qui précède la "catastrophe", aux nets influences et accents hitchcocko
-herrmanniens
, est remarquable.
-herrmanniens, est remarquable.
Et De Palma a été bien inspiré de retenir pour le rôle-titre l'étonnante Sissy Spacek
(finalement choisie à la place d'Amy Irving
), suggérée par son mari Jack Fisk
, aux côtés notamment de Nancy Allen
(future épouse de De Palma et actrice principale de Blow Out
dans lequel elle retrouvera John Travolta
).
a été bien inspiré de retenir pour le rôle-titre l'étonnante Sissy Spacek (finalement choisie à la place d'Amy Irving), suggérée par son mari Jack Fisk, aux côtés notamment de Nancy Allen (future épouse de De Palma et actrice principale de Blow Out dans lequel elle retrouvera John Travolta).
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